
1. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je suis Nawfel Hamri, j’ai 24 ans, je suis issu du quartier du Plan et je suis étudiant en histoire, à l’université d’Avignon. Je suis également militant politique à gauche depuis 2016.
2. Pourquoi as-tu choisi de soutenir (ou de rejoindre) notre liste ?
Le choix de soutenir la liste GEP était comme une évidence . En effet, face aux compromissions de la gauche molle, j’ai toujours été persuadé de la nécessité d’une gauche qui défend ses valeurs et ses principes fondamentaux, sans compromis avec le camp libéral.
3. Quel est ton lien avec la ville ?
Né à Valence, j’y ai toujours habité. D’abord à Fonbarlettes, avant de déménager au Plan, quartier que je n’ai pas quitté depuis.
4. Quel combat ou quel engagement local te tient le plus à cœur ?
Localement, le sujet de l’enclavement des quartiers populaires vis-à-vis du centre-ville et leur manque d’accès à des secteurs essentiels comme la culture m’a toujours frappé, en tant qu’habitant de ces quartiers.
5. Quel engagement ou combat au niveau national te mobilise particulièrement ?
De façon globale, tous les sujets ont mon intérêt. Néanmoins, un d’entre m’a toujours guidé dans mes engagements. Le combat pour la jeunesse, sujet sur lequel j’ai pu travailler, à travers un engagement dans le syndicalisme lycéen puis étudiant, plus précisément concernant l’orientation des jeunes des classes populaires et la précarité étudiante.
6. Une mesure concrète que tu aimerais porter avec la liste ?
La mise en place progressive de la gratuité des transports en commun dans la commune, sur un modèle similaire à celui de Montpellier.
7. Quelle est pour toi la force d’une liste citoyenne, populaire et écologiste ?
Une des principales est la cohérence idéologique ainsi que la mise en pratique d’une politique du bas vers le haut.
8. Un livre, une chanson ou une figure politique qui t’inspire ?
Je recommande vivement la lecture de « Que Faire? » De Lénine, et « l’Hégémonie Culturelle » d’Antonio Gramsci.
9. Un mot pour conclure ou un message à faire passer aux habitant·es ?
Rien n’est définitif, notre destin, collectif, n’est pas voué à un échec. « Là où il y’a une volonté, il y’a un chemin ».