Lydia Desauge s’engage dans la dynamique de la Gauche Ecologiste et Populaire pour les Municipales de 2026
Lydia Desauge s’engage dans la dynamique de la Gauche Ecologiste et Populaire pour les Municipales de 2026

Lydia Desauge s’engage dans la dynamique de la Gauche Ecologiste et Populaire pour les Municipales de 2026

  1. Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Lydia, j’ai 66 ans, je vis à Valence dans le quartier Calvaire-Hugo depuis plusieurs années. Je suis retraitée. Ce qui m’anime, c’est la justice, au sens large : celle du quotidien, mais aussi celle qu’on doit aux peuples opprimés, ici comme ailleurs.


  1. Pourquoi as-tu choisi de rejoindre cette liste ?

Parce que cette liste ne détourne pas les yeux. Elle parle vrai, elle défend la justice sociale, l’écologie populaire, les droits humains… et elle ne sacrifie pas ses principes pour des calculs électoraux. Elle ne reste pas silencieuse quand la Palestine est bombardée, ni quand l’islamophobie devient un discours banal. Pour moi, c’est fondamental.


  1. Quel est ton lien avec la ville / commune ?

Je vis ici depuis 9 ans. J’ai vécu de nombreuses années (de ma naissance à 2014) en banlieue parisienne, j’ai appris à connaître et à apprécier la ville de valence, mais j’ai vu aussi des injustices auxquelles on s’habitue trop facilement. J’ai envie que chacun·e puisse vivre ici dignement, peu importe son origine, sa religion ou son histoire.


  1. Quel combat local te tient le plus à cœur ?

Faire reculer les discriminations, sous toutes leurs formes. Trop de gens, notamment les jeunes racisé·es ou musulmans, se sentent exclus, suspectés, jugés. Il faut que ça change. Et puis, rendre visibles ceux qu’on invisibilise, donner de la voix à ceux qu’on réduit au silence.


  1. Et au niveau national ?

Je suis particulièrement mobilisé·e contre la montée de l’islamophobie et la banalisation de discours racistes. Le traitement médiatique et politique autour de la Palestine m’a profondément choqué·e : on ne peut pas défendre les droits humains à géométrie variable. Je veux une République qui protège toutes ses citoyennes et tous ses citoyens — pas seulement certains.


  1. Une mesure concrète à porter avec la liste ?

Créer des espaces citoyens permanents dans les quartiers pour que les habitant·es puissent faire entendre leur voix. Et aussi, mettre en place des dispositifs municipaux contre les discriminations, avec un vrai pouvoir d’action : pas juste des vœux pieux, mais des engagements clairs contre le racisme, l’antisémitisme, l’islamophobie ou les violences policières.


  1. Pour toi, c’est quoi la force d’une liste comme celle-ci ?

Elle ne laisse personne sur le bord du chemin. Elle unit des luttes qui sont trop souvent séparées : la justice sociale, l’écologie, la lutte contre le racisme, les combats féministes. Elle est courageuse politiquement, et c’est rare aujourd’hui. Elle ne fait pas semblant d’être inclusive : elle l’est pour de vrai.


  1. Un livre, une chanson ou une figure qui t’inspire ?

Germinal de Zola, parce que ça parle de dignité et de révolte face à l’injustice. Et Ma France à moi de Diam’s, parce qu’elle rappelle que notre pays est multiple, et que cette diversité est une richesse — pas un problème.


  1. Un mot pour conclure ?

On ne peut pas changer les choses tout·e seul·e. Mais ensemble, on peut construire une ville qui protège au lieu d’exclure, qui écoute au lieu d’écraser. Une ville debout, comme les peuples qui luttent. Et une ville digne, où personne ne doit cacher qui il est pour avoir sa place.