Nicolas Daragon a débuté ses vœux par un « Valence First » qui résonne étrangement avec le « America First » de Trump. Cette orientation préoccupante fait suite à son discours à l’assemblée nationale où il associait étrangers et délinquance, reprenant des thèmes chers à l’extrême droite.
Plus préoccupant encore, il minimise la réalité de notre ville en présentant des statistiques partielles de la délinquance. Les faits sont pourtant là : les violences familiales progressent (+84%), les agressions sexuelles augmentent (+65%), et le trafic de drogue s’intensifie (+144% – tout sur www.gep-valence.fr).
Ces problèmes méritent toute notre attention.
Pour les prochaines municipales de 2026, le groupe GEP (Gauche Écologique et Populaire), appelle tou.te.s les Valentinois.e.s à se rassembler. L’heure n’est pas aux aventures individuelles qui divisent face à un maire qui s’égare du côté de l’extrême-droite et dans des méthodes inefficaces. En deux mandats, sa réponse unique a été la répression, multipliant les arrêtés d’interdiction. Cette approche répressive nous entraîne dans une escalade sans fin, alors que d’autres voies sont possibles.
Comme le disait Einstein, la folie, c’est de faire toujours la même chose et d’attendre des résultats différents.
Nous appelons au rassemblement de toutes les forces contre un Maire qui a refusé le front républicain contre le RN lors des législatives de l’année dernière et qui a participé à un gouvernement contre le résultat des élections.
Sur 2025, le Groupe GEP démarre des réunions publiques pour construire avec tou.te.s les citoyen.ne.s, des solutions basées sur la coopération, et le respect de l’autre dans toutes ses différences, loin des discours qui divisent et alimentent la peur.